Une page se ferme une autre s'ouvre
Dai Sijie
Je viens de finir un autre livre! Je l'ai adorée! C'est un livre de Dai Sijie dont j'ai déjà parlée : Balzac et la petite tailleuse chinoise. J'avais acheter ce livre pour trois raisons : la première était que la couverture était rès jolie, ensuite je connaisait le titre car c'est aussi le titre d'un film (qui s'avere avoir été réalisé par Dai Sijie lui même) que je n'avais pas pu voir et pour finir j'avais tous simplement envie de lire un auteur au racines asiatique.
Je n'ai toujours pas vu le film (mais je compte bien y remédier) cependant j'ai terminer le livre qui est magnifique.
Comment fesons nous pour ne pas nous rendre compte de la chance que l'on a. C'est vrai tous les jours nous avons la chance de pouvoir nous cultiver librement alors que certaines personnes n'ont pas toujours eu les même droits... Ce livre nous parled e la révolution culturelle en Chine. Il y a des moments dans le livre où on se surprend a se dire que la revolution culturelle à permis à des personnes de se passioner pour la littérature. Je m'explique : la révolution culturelle ayant interdit les livres qui n'allait pas dans le sens de la politique de Mao, la littérature européennes etait complètement prohibée et donc de la même manière que les jeunes européens ont tendance a fumer "des substances illicites". Ce qui est interdit à toujours fait envie. Le besoins ne peut être créer que par manque... Enfin bon.
Voilà je vous le conseille.
"_ C'est une traduction de Fu Lei, murmura-t-il. Je reconnais son style. Il est comme ton père, le pauvre, un ennemis du peuple.
Cette phrase me fit pleurer. Jaurais voulu me retenir, mais ne le pus.Je "chialais" comme un gosse.Ces larmes, je crois, n'étaient pas pour la Petite Tailleuse, ni pour ma mission accomplie, mais pour le traducteur de Balzac, que je ne connaisais pas. N'est-ce pas le plus grand hommage, la plus grande grâce qu'un intellectuel puisse recevoir en ce monde?"